Ne pas avoir à bavarder à son bureau ou à aller aux "happy hours" quand on veut juste rentrer à la maison est un Raison principale de plus en plus de personnes optent pour le travail à distance. Des enquêtes récentes ont révélé que seuls un Américain sur six travailler dans un bureau se sent « très connecté » aux autres personnes qui s'y trouvent.
Le nombre de télétravailleurs se sentant "non connectés" à leurs collègues est, contre-intuitif à ce que certains PDG diront, plus bas pour les travailleurs à distance que pour ceux qui se rendent dans un bureau physique.
Et c'est même sans les happy hours facultatifs mais pas vraiment et autres événements de socialisation d'entreprise qui, lorsque l'on est du côté timide ou ne se sent pas connecté aux collègues, peuvent être une source majeure de stress. En novembre, un tribunal de Paris a déterminé qu'un cabinet de conseil s'était trompé tirer un homme qui a refusé d'y participer.
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Vous ne pouvez pas vous faire virer pour avoir sauté des boissons en France Le Parisien, surnommé "M. T. » par des actes judiciaires, avait travaillé pour le cabinet de conseil Cubik Partners entre 2011 et 2015.
Fournissant des services de conseil aux entreprises, Cubik fonde sa culture de travail sur celle du lien social et de la « personnalité au-dessus de la compétence ». La page du site Cubik décrivant les valeurs de l'entreprise dit ça les employés « ont besoin de savoir comment s'amuser en travaillant ».
Cet aspect de la culture d'entreprise n'augurait rien de bon pour M. T, qui a été promu en 2014, mais a refusé à plusieurs reprises de participer à diverses activités de consolidation d'équipe et à des happy hours au bureau.
Après avoir été licencié en 2015 pour "incompétence professionnelle", M. T a poursuivi son employeur en justice en affirmant qu'il était pénalisé pour ne pas s'être livré à "l'alcoolisme excessif" et à la "promiscuité".
Alors que la bataille juridique a été longue et a impliqué au moins un appel, la Cour de cassation (la plus haute juridiction du système français) a finalement pris le parti de M. T en jugeant que le refus de participer à des activités sociales facultatives était également une "liberté fondamentale". comme une « liberté d'expression ».
Cubik Partners a été condamné à payer immédiatement à M. T 3,000 3,161 euros (461,406 486,206 $). Le tribunal réexaminera ultérieurement l'étendue complète des dommages. La demande passée de M. T de XNUMX XNUMX euros (XNUMX XNUMX $) avait été rejetée par une cour d'appel française.
Les employeurs qui essaient de créer une culture « amusante » ou « familiale » devraient en tenir compte Une telle victoire juridique est inhabituelle étant donné la difficulté de prouver de telles allégations devant les tribunaux. Cubik Partners avait précédemment affirmé que M. T avait également été licencié pour des réponses hostiles aux commentaires et aux critiques ainsi qu'un "ton cassant et démotivant" envers ses subordonnés.
Le plus souvent, adopter l'approche de M. T ne conduira pas à un licenciement pur et simple, mais plutôt à des opportunités perdues parce qu'il n'est pas considéré comme "dévoué" ou "conforme". Cela dit, la critique de ce type de culture d'entreprise "fun" ou "familiale" avait déjà commencé à décollage avant que la pandémie ne résolve par inadvertance le problème des emplois dans certains secteurs bien adaptés au travail à domicile.
"Certaines entreprises sectaires vont jusqu'à positionner le lieu de travail comme un substitut à la famille et à la communauté, isolant leurs employés (peut-être involontairement, peut-être délibérément) de ces réseaux de soutien", Manfred FR Kets de Vries a écrit pour la Harvard Business Review en 2019. "Ils encouragent les gens à centrer leur vie sur leur travail, ce qui laisse peu de temps pour les loisirs, les divertissements ou les vacances."
Source : https://www.thestreet.com/employment/man-fired-not-being-fun-work-court-case?puc=yahoo&cm_ven=YAHOO&yptr=yahoo